Sauvée par ses attributs.
Texte soumis à Coïtus
Sauvée par ses attributs.
Elle embrassa bébé tendrement « maman reviens mon amour » lui dit-elle avant de fermer la porte de sa chambre. Bébé dormait à points fermés.
Elle mit son blouson et se dirigea vers la sortie, elle s’y arrêta et écouta une dernière fois… silence, tout allait bien, bébé était parti pour sa nuit. Prenant soin de verrouiller la porte, elle glissa les clés dans son sac.
Elle détestait cette maudite ville, ses ruelles sombres, les « animaux » qui y rôdaient. Prédateur sans scrupules, cherchant à assouvir leurs besoins primales. C’était malheureusement son monde, son mode de vie, un qu’elle n’avait pas choisi. Mais ne sachant rien faire d’autre, elle s’y pliait. Il fallait survivre.
L’animal de ce soir l’accosta, peu de temps après son arrivé sur le territoire désigné, sans discrétion. Les yeux bouffis et rouges, empestant l’alcool et l’eau de cologne de basse gamme. L’animal avait faim, il ne lui ferait pas de cadeau, ne la ménagera pas.
Se dirigeant vers la chambre mise à sa disposition. Elle pouvait sentir ses yeux injectés de sang la déshabiller et la scruter comme si elle était un morceau de viande dans le comptoir du boucher. Elle ferma la porte mais ne la verrouilla pas; directive de son patron, question de sécurité pour elle qu’il prétend, mais en fait c’est plutôt pour préserver la marchandise.
Sans paroles aucunes, il se dévêtit et se dirigea vers elle. Il l’agrippa par les cheveux et la tira vers le lit où il la jeta sans ménagement. L’animal releva sa jupe et déchira le nylon qui la recouvrait. Elle savait que rien ne servait de se débattre alors elle ferma les yeux, étouffa un seul sanglot et pensa à bébé alors que l’animal s’acharna sur elle. « Ce soir Juliette, maman va pouvoir encore te nourrir ».
Elle embrassa bébé tendrement « maman reviens mon amour » lui dit-elle avant de fermer la porte de sa chambre. Bébé dormait à points fermés.
Elle mit son blouson et se dirigea vers la sortie, elle s’y arrêta et écouta une dernière fois… silence, tout allait bien, bébé était parti pour sa nuit. Prenant soin de verrouiller la porte, elle glissa les clés dans son sac.
Elle détestait cette maudite ville, ses ruelles sombres, les « animaux » qui y rôdaient. Prédateur sans scrupules, cherchant à assouvir leurs besoins primales. C’était malheureusement son monde, son mode de vie, un qu’elle n’avait pas choisi. Mais ne sachant rien faire d’autre, elle s’y pliait. Il fallait survivre.
L’animal de ce soir l’accosta, peu de temps après son arrivé sur le territoire désigné, sans discrétion. Les yeux bouffis et rouges, empestant l’alcool et l’eau de cologne de basse gamme. L’animal avait faim, il ne lui ferait pas de cadeau, ne la ménagera pas.
Se dirigeant vers la chambre mise à sa disposition. Elle pouvait sentir ses yeux injectés de sang la déshabiller et la scruter comme si elle était un morceau de viande dans le comptoir du boucher. Elle ferma la porte mais ne la verrouilla pas; directive de son patron, question de sécurité pour elle qu’il prétend, mais en fait c’est plutôt pour préserver la marchandise.
Sans paroles aucunes, il se dévêtit et se dirigea vers elle. Il l’agrippa par les cheveux et la tira vers le lit où il la jeta sans ménagement. L’animal releva sa jupe et déchira le nylon qui la recouvrait. Elle savait que rien ne servait de se débattre alors elle ferma les yeux, étouffa un seul sanglot et pensa à bébé alors que l’animal s’acharna sur elle. « Ce soir Juliette, maman va pouvoir encore te nourrir ».
1 Comments:
Bonjour! Je suis d'accord woth vous jefhelene ;)
Publier un commentaire
<< Home